Avec la hausse des prix, c’est aussi la dette publique qui augmente à un rythme accéléré.
Or, si jusqu’ici l’augmentation de la dette était supportable car les taux d’intérêt étaient bas, la situation est en train de changer.
Avec la hausse des taux d’intérêt, le prix de l’emprunt va rapidement s’élever, et ce sont encore les travailleurs qui paieront les pots cassés, à coup de coupes budgétaires dans la santé, l’éducation, les infrastructures, etc.