Après avoir détruit la quasi-totalité des habitations, bombardé les hôpitaux, les écoles, les infrastructures électriques, et assassiné plus de 51.000 Palestiniens, l’État israélien annonce que ses opérations militaires vont s’intensifier et s’étendre dans la bande de Gaza.
Depuis près de deux mois, le gouvernement de Netanyahou bloque l’accès à l’aide humanitaire. Les convois sont bloqués et le personnel humanitaire est aussi victime des bombes. Le 23 mars l’armée israélienne a délibérément tiré sur un convoi d’ambulances tuant 15 secouristes palestiniens.
Aujourd’hui, plus d’un million d’enfants, en plus des adultes, sont menacés par la malnutrition et les épidémies.
Si Netanyahou et son gouvernement d’extrême droite portent la responsabilité directe de ce massacre de masse, c’est le soutien politique, diplomatique et militaire de l’Europe et des États-Unis qui rend cette campagne meurtrière possible.