Samedi 1er mai, à l’issue de la manifestation parisienne, le cortège de la CGT a subi une attaque odieuse à coups de barres et jets de projectiles, entraînant 21 blessés dont quatre graves de militants CGT.
Ces agresseurs, proférant des insultes homophobes et racistes, ont mené une attaque qui ressemble en tout point à une manœuvre de nervis anti-ouvriers, qu’ils soient d’extrême droite ou pas. Quant aux forces de police, elles en ont été complices puisqu’elles ont bloqué les véhicules de la CGT, les empêchant d’échapper à l’agression.
Les travailleurs qui veulent faire vivre le mouvement ouvrier et sa perspective d’en finir avec le pouvoir de la bourgeoisie, doivent se préparer à se défendre eux-mêmes.