En 2015, 11 millions de jours de travail ont été prestés par des étudiants, une augmentation de 7% par rapport à 2014.
De plus en plus d’étudiants sont ainsi contraints de fournir une main d’œuvre bon marché, car exonérée d’impôts et de cotisations sociales.
Le coût des études de plus en plus chères repose sur les épaules des étudiants et de leurs parents. L’Etat, lui, préfère soutenir la spéculation financière et livrer les étudiants comme chair à exploiter au patronat.