A partir de 2017, les étudiants pourront travailler 475 heures par an au lieu de 400 heures. Et le plafond applicable qui permet aux patrons de ne payer qu’une cotisation sociale minime, ne sera plus calculé en jours, mais en heures, pour permettre encore plus de flexibilité au service des employeurs, même si ça perturbe encore plus les études.
De plus en plus d’étudiants sont obligés de travailler pour financer leurs études qui deviennent de plus en plus chères. Les patrons gagnent sur tous les plans et s’en lèchent les babines.