Lorsque Paul Magnette n’est pas occupé à rêver au prix de la vente de Rive Gauche à des promoteurs immobiliers, il se demande comment faire revenir le chaland dans le piétonnier commerçant de la rue de la Montagne. Mais la réponse est la même que pour les centres commerciaux de Ville 2 (Charleroi), City Nord (Gosselies) ou Bellefleur (Couillet) : difficilement.
Exploiter des travailleurs portugais ou roumains sur le chantier de Rive gauche, c’est une chose, multiplier les consommateurs à Charleroi quand les entreprises peuvent licencier sans aucune entrave, c’en est une autre.