Durs envers les faibles, lâches devant les patrons

Après Charleroi, Liège, Mons, la ville de Namur a adopté un règlement « anti-mendicité ». Là aussi, désormais, les mendiants sont censés se déplacer vers des petites communes où il n’y a bien sûr ni poste, ni banque, ni magasins… Comment vivront-ils, payeront-ils leurs repas ? Peu importe aux échevins et bourgmestre. Mais lorsque des patrons licencient, brisent des vies, préparent le prochain lot de misérables, quelle mesure d’interdiction prendront-ils ? Aucune !