Par contre, les médias francophones semblent bien mieux renseignés par l’appareil syndical que les travailleurs syndiqués sur les dessous de la décision. D’après leurs informateurs dans l’appareil syndical, ce seraient les « voix flamandes et bruxelloises » qui auraient permis une majorité en faveur de la signature… à 0,05% près ! Diviser les travailleurs entre francophones et flamands, c’est une vieille méthode de la bureaucratie syndicale pour tenter de masquer ses concessions au patronat et aux gouvernements.
Aucun travailleur n’est pour le gel, voire une baisse des salaires, ni dans le sud, ni dans le nord du pays !