11 millions pour les voiries, 3 millions pour les terrains de sport, 3 millions pour l’entretien des écoles, 5 millions pour le rachat et la rénovation de bâtiments : toutes ces dépenses sont bien sûr nécessaires, mais c’est également l’occasion pour les partis de la majorité de serrer les mains et de boire des coupes avec les patrons du bâtiment qui remplissent ainsi leurs carnets de commande.
Quels contrôles sur leurs marges bénéficiaires ? Quelles garanties sur le paiement des salaires aux ouvriers, contre le recours à la sous-traitance en cascade, sur les conditions de travail et la sécurité des travailleurs ? Motus.