Chez De Lijn, le pouvoir d’achat est comme partout un problème et les syndicats ont déjà organisé une journée de grève le 13 mai pour protester contre les salaires trop bas. 40% des bus étaient restés au dépôt dans toute la Flandre.
Les salaires insuffisants sont aussi causés par la mise en sous-traitance, laquelle est en constante augmentation sous prétexte de la « lutte pour le climat » : le gouvernement a en effet limité les kilomètres que peuvent parcourir les véhicules à carburant fossiles et imposé un minimum de trajets à opérer avec des véhicules électriques.
Ceci n’est rien d’autre qu’un formidable tour de passe-passe pour offrir le marché au privé : De Lijn ne recevant pas les financements suffisants pour se « verdir » dans les délais accordés, ce sont les entreprises privées qui reçoivent le marché…