La presse révèle les conditions dans lesquelles les réfugiés syriens travaillent en Turquie dans la production de noisettes. Des salaires dérisoires, travail des enfants, le racket d’intermédiaires et des lois réglementant les droits des travailleurs inexistantes.
Et l’on apprend surtout que toutes les grandes marques, Nestlé, Ferrero, Godiva, s’y fournissent en noisettes pour leurs Nutella et autres produits.
La détresse des réfugiés fait l’affaire des capitalistes jusqu’à l’indigestion.