Georges-Louis Bouchez a récemment osé dire qu’il était un « prolétaire ». « Homme à tout faire pour le patronat”, aurait été plus juste. Et un qui est vraiment prêt à jouer les démagogues sans crainte de se ridiculiser.
Car pour être un prolétaire, il faut du courage, de la fierté, de la générosité, un sens de la solidarité… et puis, il faut savoir bosser.
Bouchez était déjà lamentable dans le rôle de l’apprenti-soldat, alors s’essayer au « prolétaire », ce n’est vraiment pas dans ses cordes !