Après la faillite de la chaîne de vêtements Esprit qui a fermé définitivement ses 15 magasins et supprimé 148 emplois le mois dernier, la crise continue dans le prêt à porter. C’est au tour de la marque Cassis-Paprika de faire des économies. Et pas question pour la direction de toucher aux profits accumulés par les actionnaires, elle fait payer la crise aux travailleurs.
Geoffrey Baudts, le CEO du groupe, se targue d’avoir de grandes ambitions, d’avoir un formidable « plan de relance commerciale ». Des mots qui sonnent bien creux pour les salariés, en majorité des femmes, qui viennent de perdre leur travail du jour au lendemain !
Pour « sauvegarder l’emploi » ils ferment 9 magasins et licencient 67 travailleurs ?!
C’est donc ça, la « relance » capitaliste !