La direction de Brussels Airlines avait imposé un blocage salarial aux pilotes en 2012 en promettant un rattrapage en 2018. Mais, lors des négociations, elle a espéré remplacer les augmentations de salaires par un « plan cafétéria » proposant aux pilotes de choisir entre des jours de congés, une tablette ou un vélo électrique… 400 pilotes sur 535 ont rejeté ce plan et 80% des votants se sont déclarés pour la grève. La direction invoque un contexte international difficile. En effet, il y’a aussi des grèves dans le secteur aérien en France et en Allemagne pour des revendications salariales.