Nombre d’entreprises à Bruxelles avaient des difficultés à tourner normalement à cause des mesures du niveau 4 d’alerte terroriste, notamment sur les transports.
Kris Peeters, ministre de l’emploi CD&V, n’a pas hésité une seconde pour annoncer aux entreprises le droit d’invoquer le chômage pour cause de force majeure : Avec 65% du salaire payé par l’Onem, les travailleurs concernés perdaient donc 35% de leur salaire, tandis que les patrons étaient dispensés de le payer, car la journée est prise en charge par l’Onem…
Leur « unité nationale contre le terrorisme » ne rompt pas avec la règle : les travailleurs casquent, les patrons encaissent.