Face à la multiplication des fusillades entre bandes de dealers rivales, Georges-Louis Bouchez réclame le déploiement de l’armée « dans certaines stations de métro, le Peterbos (une cité d’Anderlecht), certains quartiers de Molenbeek, avec des patrouilles mixtes » de soldats et de policiers.
Oui, la situation des habitants de ces quartiers est insupportable. Mais l’armée n’arrêtera pas la montée de la criminalité, liée au chômage et à la misère.
Bouchez qui se tient du côté des licencieurs, qui exclut les chômeurs de leurs droits, aide en réalité les bandes à recruter.
