Non au chantage

Les travailleurs des ateliers protégés du Hainaut qui réclamaient une augmentation de salaire se sont vu proposer 3€ de plus par mois contre une augmentation de la flexibilité. Au menu: des semaines de 45 heures, les journées de récupération placées selon le bon vouloir du patron… C’est d’autant plus révoltant que les donneurs d’ordre des „ateliers protégés“ sont souvent des grandes entreprises aux coffres forts bien remplis de profit.

Ces travailleurs sont partis en manifestation devant les différentes entreprises qui les emploient pour dire leur colère face à ce chantage.

Ils ont raison car les patrons ne comprennent que ce langage.