Le nouveau plan de transport de la SNCBconsiste surtout à contraindre encore plus de voyageurs de petites agglomérations à se transporter… par leurs propres moyens jusqu’à une grosse gare pour prendre un train. Le temps de trajet augmente sur de nombreux parcours. La direction de la SNCB « adapte » ainsi l’offre des chemins de fer à la pénurie de moyens, au matériel et aux infrastructures dégradées par des décennies d’investissements insuffisants décidés par des politiciens qui sont les premiers à accuser les cheminots qui se défendent « de prendre les voyageurs en otages ».