Le mythe du « capitalisme vert »

Pour rembourser les Certificats verts aux propriétaires de panneaux photo-voltaïques, le ministre wallon de l’Energie Jean-Luc Crucke a sollicité un prêt de 1,8 milliards d’euros payable en 25 ans à la banque BNP-Fortis.

Un montant qui sera intégralement payé par les consommateurs, mais auquel il faut ajouter… 374 millions d’intérêts. Soit 2,17 milliards d’euros pour un système qui ne marche pas, car si le gouvernement se retrouve obligé d’acheter lui-même ces « Certificats verts », c’est parce que les fournisseurs d’énergie ne les achètent pas !

Cet argent aurait mieux été utilisé à la construction de logements économes en énergie et abordables pour les travailleurs.