Dans la logique jusqu’au bout

Au troisième trimestre 2015, le groupe VW a constitué une réserve de 6,7 milliards d’euros pour pouvoir couvrir le coût d’un éventuel rappel de millions de voitures équipées du software à l’origine du scandale. Une grosse somme ? Oui, mais plus pour les contribuables que pour VW qui peut déduire cette « moins-value » de ses impôts.

Le prétexte pour augmenter les taxes sur le diesel, c’était « aux pollueurs de payer ». Mais il semble qu’il faille plutôt comprendre « payer pour les pollueurs ».